LA GUERRIERE
La guerrière aux yeux marrons montre ses seins violents
Que souffre mon œil blessé sous ce ciel rouge.
Elle écarte ses lèvres et montre ses dents
Pour se régaler des ardeurs pour en rire
d’une lèvre rouge indolente .
Ce qu’on dit d’amour imprime de son éclat le plus ferme,
Il est au sein des mots sous le brûlant hymen.
Et ce soir fait de rose et de bleu mystique,
Nous avons fait l’amour
Nous délivrant nous dévoilâmes t hanches
Nous dévoilant nous délivrame t seins
cachés dans un corp sage
couchés sous un parfum d’ether ,
sous le Ciel sans orage,
La lune était rouge.
Et,
le murmure rose des feuilles de satin
Inonda les pensées sauvages
que J’avais comploté.
J’avais tant rêvé de toi
Couché avec ton fantôme brûlant
Sous ta chevelure sombre.
Soufflait le silence. l’hiver grave et gelé;
je luttais avec ton sein blanc et lourd.
Peinture et glossolalies 