Le caractère inné du mouvement du museau prouve son utilité à plusieurs reprises dans la vie olfactive (et affective) chez le chien gris des Andes. Autrement appelé l’ « ours côtier »… Il ne faut pas en rester là et découvrir sa vie intérieure non dénuée de charme, son entrain, son côté doux mais doté d’une certaine virilité tout de même, une propension à donner de grands coups de patte à l’aveugle, surtout lorsqu’il aime.
Bien sûr, sachant que dans chaque griffe il a 150 kilo Newton de force de préhension, sa femelle peut de temps en temps craindre de se prendre un coup de patte un peu trop appuyé, mais elle n’hésite pourtant pas à le provoquer de temps en temps -lors de cruelles petites guerres de territoire- dans un but avant tout récréatif.
L’amour entre l’ours côtier et sa femelle s’en trouve renforcé.
à demain, pour un documentaire sur la belette espagnole.
Peinture et glossolalies 